Le Diamant Bleu.

Viyara Atelier

« Ne te fie pas aux apparences trompeuses. Regarde au-delà des faux-semblants. Dans les reflets de la lune, tu trouveras le diamant ».

 

 

2024 est l’année du Blue Moon.

Outre  l’alunisseur développé par Blue Origin (société fondée par Jeff Bezos) et qui va faire couler beaucoup d’encre au cours de ces prochaines semaines, le « Blue Moon » un diamant reliant la Terre à la Lune grâce à ses pouvoirs magiques et spirituels va aussi fasciner les collectionneurs ou ceux en mal d’histoire d’amour.

Le diamant bleu amplifie l’énergie de ceux qu’il entoure et notamment de la personne qui le porte.

Son énergie à haute fréquence est dispersée en prismes scintillants de “feu” brillant qui caractérise le soleil. C’est une pierre spirituelle, un symbole de perfection et d’illumination. Elle stimule la créativité, son imagination et son ingéniosité de son propriétaire, ouvrant l’esprit au “nouveau” et au “possible”.

Ouvrant l’esprit à l’amour.

Nombreux sont ceux qui aimeraient se l’approprier. Nicolas Tournon, chercheur en gemmologie à l’EPFL, Brice le majordome, la princesse Sophia une chère amie de longue date.

Tous entretiennent une relation ambiguë avec la baronne Adélaïde de Castel, femme fantasque et brillante.

Un roman de fiction ?

Peut-être pas autant que l’on pourrait l’imaginer. Julia, jeune actrice hollywoodienne, plutôt « pretty woman » élancée à la chevelure rousse, rencontre Robert, toujours élégant, agent d’assurance britannique, lors d’un voyage à Lausanne.

Robert enquête sur la disparition du célèbre Diamant Bleu de la baronne Adélaïde de Castel.

Tous deux vont former un couple de détectives au style hollywoodien afin de découvrir la vérité.

Le cinéma, une passion de l’auteur, est bien présent dans le roman.

La grand-mère d’Abigaelle Lacombe-Didier fut comédienne, et Abigaelle a eu la chance unique de fréquenter de grandes actrices, des icones du cinéma, pourrais-je dire, enfant puis jeune adulte.

Entre les lignes, Abigaelle Lacombe-Didier dénonce aussi les violences de l’industrie du cinéma (des réminiscences, la peur, l’alcool).

Nous commençons le roman à Beau Rivage Palace, et nous resterons dans la région vaudoise chère à l’autrice Abigaelle Lacombe-Didier. Elle y décrit avec pudeur un univers artistique somptueux qu’elle a côtoyé avec bonheur. Et nous nous délectons de ces scènes à la fois passées et présentes, où le temps s’inscrit immuable dans ces villas surplombant le lac scintillant.

De Lausanne à Blonay et Montreux, chaque personnage révèle une clé du mystère afin de résoudre l’énigme.

Qui, parmi les proches de la baronne, aurait pu commettre ce vol ?

Après « Un Amour d’ADN » que je vous avais recommandé en 2022, Abigaelle Lacombe-Didier signe son deuxième roman avec ce polar ésotérique, sensible et drôle.

 

« Les plus grandes aventures sont intérieures » Hergé.

Format : Broché
Nb de pages : 129 pages
Poids : 190 g
Dimensions : 14cm X 22cm